On estime que les femmes ne représentent que 9,1% de la main d’œuvre du secteur de la construction, mais la bonne nouvelle, c’est que ce chiffre est en augmentation, et pour une excellente raison. Grâce à l’action des associations telles que la National Association of Women in Construction(NAWIC) et la Women in Construction Operations (WiOPS) dont l’objectif consiste à valoriser les femmes, davantage de structures et d’opportunités sont données aux femmes pour qu’elles puissent développer leurs réseaux.
SAS International s’adapte à l’évolution des tendances en matière d’emploi et continue à célébrer l’encouragement et l’inclusion des femmes dans ce secteur. Pour rendre hommage aux femmes progressistes que nous avons au sein de cette entreprise, l’équipe de SAS mène une campagne visant à mettre en valeur nos modèles à suivre. Dans cette édition, nous faisons honneur à la réussite de Gordana Pavlovic ainsi qu’à son ascension dans l’organigramme de SAS International.
GP : Cadre supérieur en marketing
GP : J’ai étudié le Marketing et la Publicité pendant trois ans à l’Université de Greenwich (Londres). Après avoir obtenu ma licence, j’ai décroché mon premier poste chez John Lewis&Partners. Mais j’avais n’avais pas encore perdu l’espoir de travailler dans le marketing, jusqu’à ce qu’une opportunité d’Administrateur marketing à SAS se présenta à moi, et je pensai que c’était-là un signe m’indiquant que ma chance allait tourner, que c’était là mon opportunité pour entrer enfin dans le monde du marketing. Ma première réaction fut de penser que cette entreprise semblait avoir de solides fondations et je serais fière d’y travailler. À l’origine, je n’avais pas spécifiquement pensé à faire carrière dans une entreprise de construction et j’avais naïvement pensé, bof, il ne doit pas y avoir grand-chose à apprendre dans ce domaine... C’était là ma chance de partir sur les chapeaux de roue ! Ma perception changea rapidement ; il y avait en effet toute un tas de problèmes auxquels il fallait s’attaquer ! Ce ne fut pas facile mais j’étais contente de relever ce défi et je constatai que j’évoluai.
GP : Et bien, c’est une question ardue, puisque SAS a été ma première expérience dans ce secteur, mais d’après moi, le marketing au sein d’une entreprise de construction du type B2B est essentiellement axé sur les échelles de mesure et les plans marketing stratégiques détaillés. Toutefois, les nouvelles stratégies de ressources attribuées à chaque activité suivies par les entreprises sont souvent revisitées et adaptées pour correspondre vraiment aux besoins de chaque entreprise, et ceci au moins une fois par an.
GP : Je pense que ce secteur va constamment vers l’avant. Je suis toujours très intriguée de constater que très souvent les tendances s’adaptent et changent. L’innovation (à l’instar de ce qui arrive dans bien d’autres industries) est vraiment essentielle et dans l’environnement compétitif dans lequel nous travaillons, j’apprécie de voir comment les personnes de l’équipe de SAS considèrent cet aspect comme une priorité et j’aime encore plus voir comment nous travaillons tous ensemble comme de vrais précurseurs. Oh, et puis j’adore assister à toutes les expositions et aux remises de prix !
GP : Absolument, et je suis fière de faire partie du mouvement de NAWIC, qui, je pense, fait faire des pas de géant à ce secteur dans le sens où il lui fait reconnaître et mettre en avant les compétences que les femmes apportent d’ores et déjà à cette industrie. C’est superbe que de voir comment une multitude d’entreprises s’engagent et soutiennent la campagne, des plus petites aux plus grandes structures !
GP : À mon avis, comme la construction est une industrie traditionnellement à dominante masculine, il y avait un manque d’attrait pour les femmes, potentiellement dû à ce sentiment qu’elles avaient qu’elles ne s’y sentiraient pas à leur place. Je pense que cela ne va pas tarder à changer du fait de la récente promotion positive des carrières pour les femmes dans la construction, en tout cas je l’espère.
GP : SAS est en train de faire la promotion des histoires de réussite de nos femmes par la publication d’ « histoires de succession ». Notre idée, c’est que, si elles sont lues par le grand public, elles contribuent à montrer qu’il y a une large variété de postes et d’opportunités d’emploi pour les femmes dans ce secteur d’activité et qu’il mérite par conséquent qu’elles le prennent en compte. Nous encourageons également les entreprises de représenter et rendre hommage aux femmes qui font déjà partie de leur personnel !
GP : Je leur dirais que le top du top serait de renforcer leurs compétences commerciales en les axant vers le secteur de la construction. Ce serait une bonne chose du fait de la législation et d’autres facteurs similaires qui ont un impact continu sur le secteur de la construction. Passez du temps à examiner quels postes sont offerts, faites des recherches sur les particularités de chaque poste et voyez si vous avez le sentiment que « ça je sais faire ». Par exemple, vous pourriez commencer par un poste administratif dans un bureau (comme moi) et avant même de vous en rendre compte, vous pourriez tout aussi bien finir par travailler sur un chantier, sous un casque de chantier, à gérer des projets ou à diriger le projet de construction de la plus grande infrastructure du monde entier ! Cela ne s’est pas tout à fait passé comme ça pour moi, du moins pas encore, mais tout est possible ! Il n’y a pas de limites aux responsabilités qui pourraient vous être confiées, c’est ce que je veux dire. Alors foncez !